EXPOSITION DU 15 AU JUILLET 2022

 

Caline  MULLER.Sculpteure 

Avec une exigence et un souci de justesse très rigoureux, Caline Muller sculpte des personnages d’après modèles vivants le plus souvent féminins.

Ces créatures de terre ou de bronze portent les noms familiers de ses modèles: Julie boudeuse, Maria en marche…dénotant la relation affectueuse qui les unit à l’artiste et donne à chacun d’eux une personnalité attachante.

Respectueuse de ses modèles, Caline en saisit chaque trait jusqu’à en capter l’essence et leur insuffler la vie tout en restituant la spontanéité de leurs attitudes.

Dès le premier regard, chacun est touché par la grâce naturelle qui se dégage de ces êtres jeunes ou vieux, si présents qu’ils semblent prêts à se mouvoir.

Nicolas MARTIN .Artiste peintre 

Qu’il rende hommage à l’impressionnisme classique ou qu'il le bouscule dans une approche très personnelle qui associe déstructuration et représentation figurative, Nicolas Martin étonne par la singularité, la qualité et la pluralité de sa création picturale.

 

Chez ce jeune peintre parisien de 39 ans, chaque toile emprunte un chemin unique qui témoigne d’un refus du cloisonnement créatif, du systématisme et de l’artifice thématique. La cohérence de son travail transparaît dans le regard porté sur le sujet, l’émotion capturée, la touche, le trait et la texture uniques, ainsi que dans l’usage inattendu qu’il fait des bleus et des violets.

 

« Pour moi, le trait et la couleur doivent jaillir pour ne pas dénaturer l'émotion à force de l’intellectualiser et de la travailler. C’est l’impression immédiate qui m’intéresse, depuis toujours. Quel que soit mon sujet, c’est le désir de partager le message que je perçois, aussi vibrant que fugitif, qui me guide. À l’heure de la standardisation esthétique qui veut que tout, jusqu’à nos émotions, soit rapidement accessible et consommable, j’ai la conviction que peindre, c’est offrir à l’autre l’expérience d’une délicieuse transgression : en l’invitant à s’attarder, à contempler et à être à l’écoute de sa sensibilité, je l’invite à affirmer sa singularité dans un monde uniformisé. . ». (  Nicolas Martin )