EXPOSITION DU 3 AU 19 OCTOBRE 2025

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EXPOSITION DU 24 OCTOBRE AU 11 NOVEMBRE 2024

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   Sylvie KLYSS  La galerie Thy-Than de Saint-Prix est ravie de vous convier à sa prochaine exposition collective, qui se tiendra du vendredi 25 octobre au dimanche 10 novembre 2024. Cette exposition mettra à l'honneur les œuvres de trois artistes talentueux : Sylvie Klyss, artiste peintre, Ramasan Hasaj, également peintre, et Claire Valverde, sculptrice. Sylvie Klyss présentera une sélection d’œuvres puisant leur inspiration dans des mondes marins, réels ou imaginaires, évoquant l'eau, la mer et la richesse des fonds sous-marins.  À travers ce thème, elle utilise divers supports comme le papier, la toile et le bois, tout en expérimentant une large gamme de techniques, tel l’aquarelle l’encre de couleur ou l’huile. Chaque pièce témoigne de sa maîtrise artistique et de son envie de repousser les frontières créatives. Cette diversité de styles et son habileté à travailler les matières et les textures offrent aux visiteurs une expérience visuelle riche et immersive. Aux...
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EXPOSITION DU 15 NOVEMBRE AU 01 DECEMBRE 2024

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                                          VERNISSAGE DIMANCHE 17  / 11 À 17 H       Daniel LAFORGE . Artiste peintre . Passionné par le dessin et la peinture depuis son plus jeune âge . Ses premiers pas ont été guidés par l'artiste peintre Jehanry Montel de 1963 à 1966 , dont il devrait intégré l ´atelier . Malheureusement, Montel est décédé de façon accidentelle. Ce n'est que quelques années plus tard qu'il prit conscience du vide que sa disparition avait laissé en lui A partir de ce moment il a décidé de peindre à l'huile et n'a eu de cesse de se perfectionner au travers de lectures sur les techniques des grands maîtres ,la visite de musées et le travail dans plusieurs ateliers d ´artistes  Il cultive une grande ouverture pour travailler sur une multitude de thème...
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EXPOSITION DU 6 AU 22 DECEMBRE 2024

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      Une géométrie saisie par l'informel Il y a chez Andrea Lomanzo l'ambition de vaincre la densité et l'opacité de la matière, son impénétrabilité, afin de mettre en évidence, contre les données de la perception commune, qu'elle est en  soi, avant tout espace, ou mieux qu'elle est la forme même d'existence de l'espace. On a en effet coutume de privilégier les surfaces des corps matériels, ces frontières qui les individualisent les uns par rapport aux autres dans l'espace environnant. Ordinairement, c'est sur ces surfaces qu'intervient le sculpteur, quand il travaille à la façon de l'architecte, pour construire des volumes, des structures et des rythmes.   Parce que son champ d'action est nécessairement le sensible, Lomanzo ne néglige pas cette écorce des choses, mais observe que, si les regards prennent toujours plaisir à l'effleurer, ils y rencontrent aussi leurs propres limites, ce qui, en toute logique, devrait inciter l'art...
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